VICTIME ERREUR MEDICALE

 

Victime d’une erreur médicale ?

 

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Le concept d’accident et d’erreur médicale recouvre en fait des notions différentes dont l’importance n’est pas négligeable :

  • l’erreur médicale à proprement parler quand il est vraisemblable que le praticien n’a pas réalisé le geste dans les règles de l’art par exemple et a donc commis une faute,
  • l’aléa thérapeutique, les infections nosocomiales, le diagnostic erroné ou tardif, les négligences du praticien ou du service hospitalier (absence d’examens importants, défaut de surveillance, mauvaise organisation des services, absence de précautions, imprudence, négligence, etc…

Le cabinet de Maitre BRANDONE, Avocat à NICE, vous conseillera et vous accompagnera au cours de la procédure afin de faire valoir vos droits et obtenir une juste indemnisation du préjudice subi.

L’assistance d’un Avocat est indispensable pour vous accompagner à chaque étape :

Dès l’ouverture du dossier, Maître BRANDONE, en sa qualité d’Avocat, vous conseillera en vue d’appréhender, en fonction de chaque cas la solution la mieux adaptée.

En effet, selon les cas, la victime d’un accident médical peut engager une procédure amiable avec la compagnie d’assurances de l’établissement en question ou du praticien, opter directement pour la saisine des tribunaux judiciaires (Civil et Pénal) ou administratifs, ou encore saisir la Commission Régionale de Conciliation et d’Indemnisation (CRCI).

Il est capital dès à présent de vous faire assister par un Avocat compétent en droit de la réparation juridique du dommage corporel afin de :

  • Réunir les pièces, obtenir communication du dossier médical de la victime,
  • Préparation de l’expertise médicale qu’elle soit amiable ou judiciaire
  • Assistance et accompagnement de la victime à l’occasion de l’expertise médicale,
  • Appréciation des préjudices suite à l’accident de la circulation et de l’indemnisation en découlant et conseils sur la documentation des divers préjudices
  • Elaboration de la procédure en réparation du préjudice corporel permettant à la victime d’obtenir une indemnité bien plus importante que celle offerte par les compagnies d’assurances dans le cadre du processus amiable issu de la Loi Badinter en cas de besoin ou plus généralement en adéquation avec la nomenclature dite DINTILHAC.